Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.
Juriste et ancienne présidente mondiale des Instituts séculiers, visiteuse apostolique, Nadège Védie revient sur la plus jeune des formes de vie consacrée reconnues à ce jour, la forme séculière, appelée comme les autres à des recompositions, mais surtout, à un profond renouveau.
Pour les trente ans de la présence des Carmes vénitiens à Bruxelles, Vies Consacrées a voulu rencontrer leur prieur, qui voit la spiritualité du Carmel prendre chair avec les pauvres, en Roumanie, en Colombie, et, sur place, dans une « écologie œcuménique ».
Madeleine Delbrêl, cette « laïque ordinaire » déclarée vénérable par le Pape François en 2018, a ouvert des champs nouveaux qui pourraient devenir nôtres – c’est ce qu’écrit l’auteur, prêtre du diocèse de Lille, membre de la « Fraternité diocésaine des parvis » qu’il a cofondée, une communauté qui rassemble des hommes et des femmes de tous horizons cherchant à vivre dans cette trace spirituelle et missionnaire.
Entrée chez les Dominicaines missionnaires de Namur après une jeunesse bien éprouvée, sœur Marie-Pascale a partagé la Parole de Dieu et la joie du salut dans plusieurs pays d’Afrique. En 1983, elle a fondé au Rwanda une jeune communauté autochtone qui, aujourd’hui, devient la sienne et celle de ses sœurs : une aventure inspirante, toujours en vue de la formation et de la mission. Ne manquez pas la vidéo qui accompagne cette rencontre !
Sœur Christiane, carmélite du monastère de Bruxelles et depuis peu membre de notre Conseil de rédaction, est aussi l’auteur d’une Petite vie du père Jacques de Jésus parue chez DDB en 2005. Elle rappelle le sillon de lumière tracé par le père Jacques, tout ensemble prêtre, pédagogue, carme et prophète.
Rentré d’un voyage de plusieurs mois en Terre sainte, le Cardinal Philippe Barbarin, à qui le Pape pourrait en tout temps confier de nouvelles missions au Moyen-Orient, a accepté de nous livrer ses impressions sur la vie consacrée dans ces régions. Une rare occasion d’apprendre comment, si les chrétientés décroissent sans cesse, la vie religieuse demeure fortement implantée au pays de Jésus.
Connaissez-vous les Marquises ? Les moins de 10.000 habitants de ces îles d’origine volcanique se sont organisés, grâce aux missionnaires français, en communautés chrétiennes très vivantes, qui ont largement soutenu l’éducation des jeunes et des femmes. Un missionnaire belge, père des Sacrés-Cœurs, curé de la cathédrale Notre-Dame de Taiohae, nous fait entendre leur voix.
Prêtre du diocèse de Lyon, membre de la Communauté de l’Emmanuel, ingénieur de l’École polytechnique, philosophe et doctorant en théologie, Matthieu Bernard nous partage son étonnement de lecteur des Actes des Apôtres d’y voir en filigrane l’Église même du Pape François. Une découverte.
Prêtre des Missions étrangères de Paris, Yann Vagneux vit à Bénarès, en Inde. La haute figure du Père bénédictin Henri Le Saux, de l’abbaye de Kergonan, proche de Jules Monchanin et de Raymon Panikkar, est suivie dans sa découverte de l’Inde et la transformation de sa vision du sacerdoce du moine chrétien en milieu hindou. Une source d’inspiration, à réfléchir.
Déjà très connue en France par son itinéraire marin et spirituel (voir ses nombreuses publications), sœur Nathalie a été une auditrice active du récent Synode pour les jeunes. Nommée parmi les premières femmes consulteurs du secrétariat général du Synode des évêques, elle est particulièrement indiquée pour nous présenter, à partir de sa vocation de Xavière, les enjeux du Synode pour l’Amazonie maintenant en cours.
Depuis le Népal un père jésuite belge évoque pour nous sa longue présence « missionnaire » en Inde, puis son service à la Curie générale de Rome, et aujourd’hui, son expérience de formateur dans cette Région jésuite formée d’un tiers de jeunes. Imprégné par l’apport conciliaire de notre revue, il verrait bien que les religieux soient, au Népal et partout, plus clairement des « Témoins de la Cité de Dieu ».
Parmi les 19 chrétiens récemment béatifiés à Oran, certains sont restés dans l’ombre, comme ces quatre Missionnaires d’Afrique (Pères blancs) assassinés ensemble à Tizi Ouzou le 27 décembre 1994. Parmi eux se trouvait un Belge, avec qui son confrère Guy Theunis, autrefois très engagé au Rwanda, nous propose de faire plus ample connaissance.