Un périodique unique en langue française qui éclaire et accompagne des engagements toujours plus évangéliques dans toutes les formes de la vie consacrée.
Sœur de la Providence de Ribeauvillé, sœur Monique a été supérieure générale et présidente de la C.S.M.F. (aujourd’hui CORREF) ; elle livre, notamment aux instituts qui vont vers l’accomplissement de leur mission, un regard d’espérance sur les temps que nous vivons.
Voici, par leur auteur principal, évêque de Haarlem-Amsterdam, un commentaire des Directives approuvées par le Dicastère pour le gouvernement et l’administration des biens des instituts diocésains de vie consacrée aux Pays-Bas. Ces « Guidelines » sont aussi pour l’instant à la base de plusieurs rencontres organisées à Rome pour entendre les Conférences de religieux sur le sujet. Elles pourraient donc devenir bientôt plus universelles.
Professeur au Centre Sèvres, prêtre du diocèse du Havre et normalien, l’auteur nous a plusieurs fois invités à partager ses recherches sur l’expérience spirituelle des pauvres. Sa méditation du Magnificat, où s’annonce déjà tout l’Évangile, signale le combat que se livrent en nous la promesse et la menace : il s’agit pour tous de se convertir à la fidélité renversante de Dieu.
Docteur en droit canon, professeur à l’Université pontificale du Latran, ce canoniste laïc belge, membre du « Staff Généralat » de la Congrégation des Frères de la Charité, a collecté les modifications apportées à dix canons qui concernent directement les membres de la vie consacrée.
Adressé d’abord à un groupe de vierges consacrées, cette réflexion d’un jésuite expert en spiritualité et ami de notre revue, conduit avec une rare pertinence aux sources évangéliques et historiques d’une vocation qui apparaît ici dans sa complémentarité avec toutes les autres.
Membre de la Societas Liturgica, du bureau éditorial de la revue Studia Liturgica, de la Commission francophone cistercienne (CFC), co-rédactrice de la revue Liturgie, Frédérique Poulet nous propose une première lecture des nouveautés de la récente traduction francophone du Missel romain. Un moment nécessaire, à côté d’autres approches plus critiques.
Professeur de théologie sacramentaire à l’Institut pontifical Jean-Paul II, sœur apostolique de saint Jean, l’auteur réfléchit à la place de la vie consacrée en relation avec le binôme clercs-laïcs. On lui sait gré d’avoir ouvert, durant le Symposium romain récent sur le sacerdoce, un débat urgent.
Membre permanent du « Centre d’études et de recherches Ezio Aletti », professeur ordinaire à la Faculté de théologie de l’Université grégorienne, écrivain qui rappelle volontiers aux consacrés les sources orientales de la pensée chrétienne (voir notre site), Michelina Tenace souligne ici le charisme d’anticipation encore porté par les Instituts séculiers.
Initialement présenté lors d’une conférence au lendemain même des attentats de Paris, cette réflexion d’un Trappiste, d’abord médecin en Afrique et au Proche-Orient, aujourd’hui maître des novices à Tamié, est publiée en marge du procès des terroristes et de la publication du Rapport Sauvé : il s’agit bien de savoir de quel prophétisme parler et pour quelle conversion.
Longtemps vicaire général du diocèse de Liège, professeur à l’Université catholique de Louvain et à l’Institut catholique de Paris, canoniste réputé, l’abbé Borras figure parmi les vingt-cinq membres de la commission théologique du prochain Synode des évêques. Il présente ici les nouvelles dispositions canoniques en matière de droit pénal.
C’est la suite attendue de l’article commencé dans notre livraison précédente. Doyen du Studium des Frères de Saint-Jean, ecclésiologue de formation, frère Gonzague insiste ici sur le travail de mémoire et de prophétie qu’ont à faire les jeunes instituts (et d’autres !) dans l’Esprit qui permet la (re)réception ecclésiale du don d’origine.
Mais oui, « les pauvres sont nos maîtres ». Normalien et vicaire de paroisse, François Odinet, désormais docteur en théologie du Centre Sèvres, y poursuit par son enseignement et ses recherches sur l’expérience spirituelle des pauvres – ceux-là même dont Jésus lui aussi a appris, comme en témoignent les rencontres de la Cananéenne et de Bartimée, longuement méditées.